Martin s'amuse en barrant Coxily dans le sound
Notre mouillage de Tom Point Creek
Jonathan se dégourdi les jambes
Mardi 29 avril
6H00 le cadran sonne encore (n'oubliez pas c'est le jour de la marmotte)
7H00 on lève l'ancre. Ce matin c'est un peu plus tard car Martin a dû vérifier le moteur car hier on l'a fait chauffer parce qu'on voulait avoir l'ouverture d'un pont à temps.
Je fais un waypoint dans le GPS portatif pour savoir dans combien de temps nous serons à notre point d'arriver. Martin aimerait bien mouiller vers 17H00. Je fais alors ce point près de l'ancrage où nous aimerions être et il ne peut pas être mieux servi, on arrive approximativement vers 17H00. La réalité est de mise, on a arrêté le moteur à 17H10.
Il fait 15 degrés celcius dans le cockpit ce matin. On gèle !! C'est des vents d'ouest toute la journée. On sort le génois pour la plupart du temps dans la journée sauf quand on a vraiment le vent dans la face. On s'amuse beaucoup dans les sounds, ça roule en s.v.p. On fait jusqu'à du 9 noeuds et à partir de 7.7 noeuds, c'est notre vitesse de coque, c-à-d que la vague sort au bout du bateau (pas avant ou pas plus loin). Nous avons nos manteaux à l'extérieur pour toute la journée.
Martin a un coup de soleil et a les yeux qui brûle. Il porte toujours des lunettes de soleil et pour une heure environ il ne l'est pas porté ...
Nous avons navigué 63 miles nautiques, 73.1 miles terrestres ou 116.96 km.
Dans le livre de Skipper Bob, il fait mention de notre mouillage comme étant un des meilleurs ancrages de la région. C'est magnifique et sauvage, on est tout seul !! On adore. C'est un de ces moments où je suis consciente que je suis vraiment heureuse ... Quand on est arrivé, Martin a vu un chevreuil partir au galop. Il est débarqué à terre avec Jonathan l'histoire d'aller se dégourdir et prendre des photos. Ils ont vu une couleuvre, un crabe, une crotte et une carcasse de limule.
Nous regardons en soirée un des films que j'ai acheté au WM, «Micheal» avec John Travolta qui fait un archange.
6H00 le cadran sonne encore (n'oubliez pas c'est le jour de la marmotte)
7H00 on lève l'ancre. Ce matin c'est un peu plus tard car Martin a dû vérifier le moteur car hier on l'a fait chauffer parce qu'on voulait avoir l'ouverture d'un pont à temps.
Je fais un waypoint dans le GPS portatif pour savoir dans combien de temps nous serons à notre point d'arriver. Martin aimerait bien mouiller vers 17H00. Je fais alors ce point près de l'ancrage où nous aimerions être et il ne peut pas être mieux servi, on arrive approximativement vers 17H00. La réalité est de mise, on a arrêté le moteur à 17H10.
Il fait 15 degrés celcius dans le cockpit ce matin. On gèle !! C'est des vents d'ouest toute la journée. On sort le génois pour la plupart du temps dans la journée sauf quand on a vraiment le vent dans la face. On s'amuse beaucoup dans les sounds, ça roule en s.v.p. On fait jusqu'à du 9 noeuds et à partir de 7.7 noeuds, c'est notre vitesse de coque, c-à-d que la vague sort au bout du bateau (pas avant ou pas plus loin). Nous avons nos manteaux à l'extérieur pour toute la journée.
Martin a un coup de soleil et a les yeux qui brûle. Il porte toujours des lunettes de soleil et pour une heure environ il ne l'est pas porté ...
Nous avons navigué 63 miles nautiques, 73.1 miles terrestres ou 116.96 km.
Dans le livre de Skipper Bob, il fait mention de notre mouillage comme étant un des meilleurs ancrages de la région. C'est magnifique et sauvage, on est tout seul !! On adore. C'est un de ces moments où je suis consciente que je suis vraiment heureuse ... Quand on est arrivé, Martin a vu un chevreuil partir au galop. Il est débarqué à terre avec Jonathan l'histoire d'aller se dégourdir et prendre des photos. Ils ont vu une couleuvre, un crabe, une crotte et une carcasse de limule.
Nous regardons en soirée un des films que j'ai acheté au WM, «Micheal» avec John Travolta qui fait un archange.
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